Quelles sont les origines de la toque de cuisine ?
Une composante de la tenue professionnelle
L'on l'utilise souvent à la gastronomie. L'on la voit sur la tête du chef cuisinier et d'autres personnels de la restauration. Personne ne sait bien évidemment d'où elle vient. L'histoire de ce chapeau a son importance dans la gastronomie. Le bon cuisinier est tenu de porter cette tenue dédiée à la profession au cours de ses tâches quotidiennes. C'est indispensable de savoir d'où vient une telle tradition. Cela permet de mieux l'expliquer aux générations futures. La connaissance de ce chapeau dans la gastronomie passe l'étude de son évolution au fil du temps. Initialement, elle avait pour nom chapeau. Elle a une origine espagnole. Son apparition date du XVème siècle.
Elle émerge d'abord dans ses débuts comme étant un bonnet sous une forme cylindrique avec des bords relevés non seulement en velours noir, mais aussi en soie. Elle devient progressivement un bonnet conçu en du coton simple. En réalité, l'étymologie du mot donné à cette coiffe vient du breton. La tok signifie en réalité un chapeau. Les juges en avaient utilisé sous le règne du grand Napoléon 1er. Les gens l'ont délaissé progressivement. Elle a connu son apogée entre temps comme accessoire d'habillement. Il en existe sous plusieurs formes. Elle est fourrée et souvent garnie d'un joyau ainsi que d'un plumet. Elle est fabriquée en tissu simple. Elle est pratique pour tous les types d'utilisation. Celle utilisée en gastronomie a été inventée par Marie-Antoine Carême en 1821. C'était au cours de son séjour dans la région de Vienne. Il était aux ordres de Charles Stewart. A cette époque, les cuisiniers se servaient des bonnets fabriqués en coton. Par la suite, elle était de couleur blanche avec aucun rebord mais des plissés. Elle est portée de façon verticale.
Les usages de ce chapeau des cuisiniers
Cet accessoire vestimentaire du cuisinier protège mieux les plats créés et cuisinés par les cuisiniers et autres responsables de la gastronomie. Il est indispensable et recommandé pour tous les professionnels de la gastronomie. A cet effet, les gérants d'établissements de la restauration rapide, les responsables de restaurant gastronomique ou même le personnel de boulangerie s'en servent. Elle est portée pour des raisons d'hygiène. Cette toque couvre la partie du crâne des cuisiniers. Le but est d'éviter que les petits cheveux se détachent et finissent dans les assiettes des clients ou des invités ce qui pourrait être fâcheux. Elle est déclarée obligatoire en restauration. Elle aide en outre les cuisiniers à garder une posture droite. Ils n'ont plus dès lors le dos courbé. Elle est très pratique aussi quand les fourneaux et les marmites tournent vraiment à plein régime. Elle aide à ventiler le crâne et le haut du front des cuisiniers. Elle absorbe l'humidité du front soumis à une forte transpiration le plus souvent. Elle allie l'hygiène au confort sur le lieu de travail au quotidien. Elle a une forme qui ne laisse pas son porteur inaperçu.
Comment peut-on expliquer sa forme ?
Elles avaient entre temps des hauteurs différentes. Les hauteurs sont en relation avec le grade des cuisiniers en matière de gastronomie. Celle qui était très haute est réservée uniquement au grand responsable. De nos jours, que ce soit les responsables cuisiniers et les brigades sont tenus de se servir de cet accessoire. Le port se fait sans aucune distinction. Les écoles de formation en gastronomie exigent déjà aux apprentis cuisiniers d'en mettre. La forme est généralement haute. Elle est sans bord et surtout plissée. Certaines légendes racontent que Marie-Antoine Carême avait jugé utile de placer sur le bas un cercle en papier. L'objectif est de la rendre assez raide. Il désirait qu'elle puisse tienne droite mais aussi en hauteur. L'objectif est de permettre à la chaleur de se dissiper rapidement afin que le crâne et le front des cuisiniers soient toujours au frais.